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    Publicité parue dans Arabesque (March-April 1982)

    Vous remarquerez la 'moue' du modèle...pas très glamour !!! sarcastic


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  • Inconnue n.11

     

    Photo parue dans Arabesque (July-August 1986)


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  • Chapitre XXXVIII (extrait de Voyage en Egypte, 1547, de Pierre Belon p.72)

    "Les Mores ou Egyptiens sont les plus récréatifs que gens qu'on puisse connaître, car ils sont toujours prêts à sauter ou a danser, ou à faire quelque gambade, qui est une chose qui ne leur est pas nouvelle, car Flavius Vospicus a laissé par écrit que les Egyptiens étaient grands versificateurs et joueurs de farces, et toujours prêts à sauter.(...) Les femmes des Mores de la ville du Caire savent sonner d'une manière d'instruments nommé cinghi qui est aussi connu en Constantinople. Il n'est guère moins harmonieux qu'est une harpe; et combien qu'il n'est de grande musique, toutefois il est plaisant à l'ouïe, moyennant qu'on le chante en le sonnant. Les Mores ou Egyptiens ont plus grand usage de musique que les Turcs, et principalement de hautbois et de violes (...)"

    NB : Flavius Vospicus est l'un des auteurs de l'Histoire Auguste : la référence au comportement 'joueur' des Egyptiens est dans La Vie de Saturnin, VII,4

    le cinghi de Belon désigne sans doute le kemangeh, sorte de viole.


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  • Des Violes des Egyptiens- Chapitre XLVIII (extrait de Voyage en Egypte, 1547, de Pierre Belon p.72)

    "Les violes des susdits Egyptiens n'ont qu'une corde tendue, ou deux pour le plus, qui n'est que de soie de cheval, sans être entorse, tellement que la corde tant de l'archet que du violon sont d'une même façon. Le col du violon est long, aussi a-t-il à faire longues touches. Le chevalet n'est pas appuyé dessus une table de bois, comme sont les nôtres, non plus que leurs luths et guiternes, mais sur une peau de poisson pêché au Nil, nommée glanis, collée par dessous le bois. Le reste du corps de ce violon est faite comme une boîte plate, qu'ils tiennent appuyée contre terre à un long fer qui sort du corps dudit violon. Car ils ne les appuient point sur l'épaule. Ils chantaient ensemble à voix pareille, qu'il faisait assez bon ouïr, car ce qu'ils chantent est en rythme.(...)"


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